Une grande variété de brioches avec LUC DORIN
Les participantes étaient nombreuses, comme le nombre de brioches à réaliser. La soirée demanda beaucoup de concentration et de savoir-faire à acquérir; on ne vit pas une seule pointe de découragement malgré l’ampleur de la tâche et ceci grâce à l’assurance professionnelle tranquille de LUC DORIN qui en avait vu d’autres.
Tout d’abord il fallut acquérir l’art de faire une boule, puis l’art du colombin, celui d’étaler la pâte ou de la rouler, de la découper, de la ciseler pour faire la brioche à tête, le pain au lait, la brioche à la pistache, la brioche ananas coco, la brioche bananes curry, la brioche poires chocolat ou encore la brioche suisse ou le pain aux raisins.
Ce fut une succession de préparations : de la crème pâtissière aux différents fourrages pour agrémenter les brioches, une série d’enfournages, le tout accompagné de délicieuses odeurs tout au long de la soirée.
Mais le plus dur restait à faire ; car si jusque-là, les participantes avaient travaillé à partir de la pâte apportée par LUC DORIN, il fallut ensuite apprendre à faire soi-même la pâte à brioche : tout se corsa car l’opération nécessitait de la patience au long cours, de la force physique, presque de l’endurance. Restait donc à attaquer le morceau de bravoure car la pâte travaillée semblait au début n’obéir qu’aux gestes de son maître : LUC.
Mais chaque participante eut raison des velléités de résistance de la pâte et au terme d’une longue concentration et préparation chacune l’emporta chez elle pour un repos bien mérité- de la pâte et de la pâtissière - avant de la retravailler le lendemain.
Le résultat des réalisations
fut à la hauteur des efforts et la soirée se termina par une exposition des différentes brioches, comme dans la vitrine du pâtissier, avant dégustation.
Maïté L
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